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Correspondance d'ailleurs...
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17 août 2010

Il y a de ces matins où même le Soleil brûle trop le coeur.

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Il fait chaud, trop chaud. J'ai toujours détesté cette chaleur abrutissante. Il me tarde qu'une seule chose, la pluie, la pluie qui me rapproche de Lui. Lui, ce Lui que je tente tant bien que mal d'oublier, ce lui qui vit ça vie pendant que moi, je survie la mienne. Tu n'es pas la seule à être seule. Je le suis aussi, Pepieux, village merdique, gens merdique, été merdique. Je n'ai plus le droit de m'amuser, mon père me l'interdit. Je ne pense qu'à une chose, me trouver des amis. Pourquoi sommes nous pas partie toutes les deux ensemble ? Tout aurait été plus facile. Je ne bois plus, je ne fume plus, même ce tabac dégueulasse que je roule en tremblotant. Et quand une âme charitable me fait tourner un vieux spliff dégueulasse il me débouche les synapses et je divague loin, trop loin. J'ai envie d'en chier, oui, mais pas toute seule, j'ai envie de sentiments vifs, violants, j'ai envie d'accolades nocturnes, j'ai envie de tristesse et de joie melangée. Mais rien, plus rien. Il ne se passe rien. 

-La photo, c'est le lac ou les poissons ne nagent plus parce qu'ils meurent tous à cause de la pollution... C'est charmant Pepieux, c'est charment ! 

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